Tendresse

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De la violence d’une tendresse qu’on nous refuse à la tendresse d’une amitié qui sauve, à celle du vêtement qui construit, dévoile, répare, Louise Jarrige-Le Berre donne à voir ce qu’il y a de radical dans la tendresse. Dans son mémoire, poésie et mode convergent pour donner voix au langage du corps, et faire entendre les dialogues inaudibles des corps entre eux. Trouver sa forme dans l’acte de se vêtir, se former dans l’acte du faire avec, les mettre en mots : c’est l’enjeu d’un travail qui résonne avec la volonté de définir une pratique de mode poétique et politique, sans quoi la mode n’est qu’artifice.

 

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