Fuir Genève

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Les trajets en train rythment ce mémoire d’Oélia Gouret en forme de journal de voyage, mais aussi de journal de bord d’une période exceptionnelle de pandémie mondiale, et malgré tout de formation, d’échanges, de lectures, de politisation. Se mettre en route devient un mode de construction de soi, de respiration et d’inspiration, de câblages temporaires dans un monde qui s’isole et se cloître. S’inscrivant dans la lignée d’un écrivain d’autofiction comme Guillaume Dustan, Oélia Gouret propose un texte richement illustré, où la mobilité s’apparente à un refus du pouvoir institutionnel et à l’expression de ce qu’Elsbeth Probyn nomme les « appartenances extérieures ».

 

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